Publié hier à 12:03, Mis à jour il y a 1 minute Quiconque propose de faux traitements peut être considéré comme un charlatan”, explique Simon Schraub. BOUTIQUE ADOBE INTERVIEW – Simon Schraub, professeur émérite de médecine et ancien administrateur de la National Cancer Society, expose les risques pour la santé de l’abus et comment s’en protéger. Simon Schraub est l’auteur d’un livre et d’une thèse sur les dangers des médecines alternatives dans le cancer. FIGARO SANTÉ. – Comment s’est constituée la National Cancer Society pour conseiller sur les risques d’écarts de bien-être et de santé ? Simon VIS. – Jusqu’en 1998, l’Association s’occupait principalement de soutenir la recherche et les actions de prévention du cancer. Mais aider les malades devient de plus en plus important. Premièrement, avec un soutien psychologique, notamment par le biais de groupes de soutien. Les comités départementaux ont ensuite été examinés par des personnes qui ont fourni tous les types de soins de mieux-être. Il appartenait donc à l’Association de définir ce qu’est la médecine complémentaire, d’en donner les limites et les risques, de conseiller les commissions départementales d’accueil et d’information des malades et de leurs proches. Pour ces services de santé proposés, la frontière entre charlatans et gourous est parfois…

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