Publié il y a 2 heures, Mis à jour il y a 12 minutes Vladimir Poutine, mardi 16 août, à Moscou, a lancé une nouvelle charge contre les actions “déstabilisatrices” de l’Occident en Afrique et sur d’autres continents, avec le retrait complet de la force Barkhane du Mali. MIKHAÏL KLIMENTEV/AFP DESCRIPTION – Au milieu du retrait de la force française Barkhane au Mali, le président russe Vladimir Poutine mène une étape symbolique dans l’offensive tous azimuts de Moscou en Afrique. Correspondant à Moscou La coïncidence est fortuite et pourtant significative : le jour même où l’armée française se retirait du Mali, Vladimir Poutine lançait mardi une nouvelle charge contre les actions « déstabilisatrices » de l’Occident en Afrique et sur d’autres continents. La France n’a pas évoqué et le Kremlin n’a pas immédiatement réagi à l’arrivée, au Niger voisin, du dernier détachement de la force Barkhane présent sur la base de Gao au Mali. Cependant, l’événement marque une étape symbolique dans l’assaut total de Moscou sur le continent. Lire aussiAu Sahel, l’après-Barkhane a commencé Désormais, en lieu et place de la force militaire française qui comptait autrefois plus de 5 000 soldats, quelques centaines de mercenaires du groupe Wagner – on en comptait environ 300 au Mali début 2022 – sont en première ligne face aux différents djihadistes. des groupes font rage dans cette région du Sahel. Grâce à ces soldats de fortune, Moscou peut-elle réussir là où les Français – et les Européens – ont échoué ? Lundi à nouveau…

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