Ce dimanche, par un message posté sur son compte Twitter, la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, Amélie Oudéa-Castera, a salué la mémoire de la jeune femme et adressé ses plus sincères condoléances à sa famille. Profondément attristée par le décès de la championne de ski-alpinisme Adèle Milloz sur le Mont-Blanc, âgée de 26 ans, et de la femme qui était à ses côtés. J’exprime mes condoléances à sa famille, ses proches, ses collègues de l’Ecole Nationale de Ski et d’Alpinisme de Chamonix. pic.twitter.com/RFf9pBWCep — Amélie Oudéa-Castéra (@AOC1978) 14 août 2022 Adèle Milloz, 26 ans, à l’Ecole nationale de ski et d’alpinisme (ENSA) de Chamonix pour devenir guide en haute montagne, est décédée en compagnie d’une autre femme, dans l’ascension de la voie normale de Peigne, sur le massif du Mont Blanc. Les corps des victimes “ont été retrouvés sur une face de l’aiguille par des témoins qui se sont également promenés au sommet et ont passé l’alarme”, a expliqué le peloton de gendarmerie de haute montagne. Le stage de fin d’études pour la validation du diplôme d’Adèle Milloz devait débuter le lundi 15 août. La corde ayant donné l’alarme, a été évacuée par l’hélicoptère de la sécurité civile. “Les causes de la chute ne sont pas connues. A priori il n’y a pas eu d’éboulement”, précise le PGIM. Une enquête pour déterminer la cause de l’accident est en cours, a indiqué à l’AFP une source gendarmerie, une information confirmée par un communiqué publié par la Fédération française d’alpinisme et d’escalade. “Son sourire et sa bonne humeur nous manqueront toujours”, a-t-elle déclaré. “La haute montagne est devenue plus dangereuse avec la sécheresse, mais l’accès ne fait l’objet d’aucune interdiction particulière”, précise le PGHM. Le 5 août, deux refuges qui permettaient l’ascension du Mont Blanc ont été fermés en raison du « danger de mort » représenté par de nombreux éboulements dus à la sécheresse.