• Lire aussi : ArriveCAN pourrait violer des droits protégés par la Constitution • Lire aussi : Chaos dans les aéroports : le ministre des Transports appelé à comparaître • Lire aussi : Retour du contrôle aléatoire dans les aéroports Cette mesure est en place aux frontières terrestres depuis mai et s’applique aux voyageurs sans antécédent de non-conformité. « Citoyens canadiens, résidents permanents et personnes inscrites en vertu de la Loi sur les Indiens entrant au Canada qui n’étaient peut-être pas au courant de cette exigence […] sont exemptés de quarantaine, de tests et d’amendes uniques », a déclaré la porte-parole de l’ASFC, Rebecca Purdy, dans un courriel aux médias. L’exemption a été étendue depuis le 29 juillet aux ressortissants étrangers entièrement vaccinés arrivant dans le pays depuis un point terrestre. « Suite à cette exemption unique, les citoyens canadiens, les résidents permanents et les personnes inscrites en vertu de la Loi sur les Indiens qui ne soumettent pas leurs informations via ArriveCAN seront soumis à une quarantaine et à des tests et pourront également être condamnés à une amende », a-t-il déclaré. Cependant, un étranger qui ne répond pas aux critères ArriveCAN après la dispense unique se verra refuser l’entrée au Canada. Nous vous rappelons que l’application ArriveCAN a été lancée en avril 2020 pour vérifier l’acceptation des voyageurs en raison des restrictions imposées lors de la pandémie de COVID-19. Du 24 mai au 4 août, l’exemption a été utilisée 308 800 fois par les 5 086 187 voyageurs qui ont traversé la frontière terrestre.